chile y América Latina no estuvieron exentos de la influencia del contexto global de guerra fría.En este sentido se puede reconocer como principales consecuencias de este proceso:
l)El Tiar y la alianza militar estrategica con América latina. ll)la doctrina Truman y la vigilancia contra influencias externas al continente. lll)la aprobación de leyes de carácter anticomunista por influencia de E.E.U.U.
Né dans le contexte européen de la guerre froide afin de contrebalancer la propagande communiste du Mouvement pour la Paix, le Congrès pour la Liberté de la Culture a été à l’origine d’un ensemble de revues d’analyse sociale et politique (Der Monat, Preuves, Encounter, Tempo Presente…) caractérisées par leur orientation antitotalitaire et par leur rigueur intellectuelle. Parmi celles-ci, Cuadernos del Congreso por la Libertad de la Cultura (1953-1963) est sans aucun doute la plus polémique et la moins bien connue. La présence d’une équipe d’ex-communistes espagnols à sa tête et la transposition des enjeux de l’antitotalitarisme au continent américain, dominé, lui, par le néocolonialisme économique et l’ingérence politique des Etats Unis, expliquent pourquoi on considère généralement cette revue comme de la propagande nord-américaine. Cependant, Cuadernos a su s’implanter dans la réalité complexe de l’Amérique Latine et si elle s’est trouvée par moments dans une position difficile c’est parce qu’elle reflétait les choix auxquels les démocrates et libéraux latino-américains étaient confrontés pendant la guerre froide. Force est donc de lui reconnaître le mérite d’être restée sur ses positions anticommunistes sans pour autant renoncer à son indépendance critique vis-à-vis des États-Unis.
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Né dans le contexte européen de la guerre froide afin de contrebalancer la propagande communiste du Mouvement pour la Paix, le Congrès pour la Liberté de la Culture a été à l’origine d’un ensemble de revues d’analyse sociale et politique (Der Monat, Preuves, Encounter, Tempo Presente…) caractérisées par leur orientation antitotalitaire et par leur rigueur intellectuelle. Parmi celles-ci, Cuadernos del Congreso por la Libertad de la Cultura (1953-1963) est sans aucun doute la plus polémique et la moins bien connue. La présence d’une équipe d’ex-communistes espagnols à sa tête et la transposition des enjeux de l’antitotalitarisme au continent américain, dominé, lui, par le néocolonialisme économique et l’ingérence politique des Etats Unis, expliquent pourquoi on considère généralement cette revue comme de la propagande nord-américaine. Cependant, Cuadernos a su s’implanter dans la réalité complexe de l’Amérique Latine et si elle s’est trouvée par moments dans une position difficile c’est parce qu’elle reflétait les choix auxquels les démocrates et libéraux latino-américains étaient confrontés pendant la guerre froide. Force est donc de lui reconnaître le mérite d’être restée sur ses positions anticommunistes sans pour autant renoncer à son indépendance critique vis-à-vis des États-Unis.
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